Etudiante en M1 MIAGE, Valentine est particulièrement investie au sein de l’institut. Membre de l’association BDE MIAGE Nancy pendant deux années consécutives, elle est actuellement tutrice d’étudiants de L1. Lors de son premier semestre de L3, en 2019, elle a également vécu l’aventure Erasmus en Allemagne à la Duale Hochschule Baden-Württemberg (DHBW).

Le choix de la pluridisciplinarité

Valentine a rejoint l’Institut des Sciences du Digital Management & Cognition (IDMC) en L1 MIASHS après avoir obtenu un Bac Scientifique et suivi une année de classe préparatoire à l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon. « J’ai intégré l’IDMC pour sa particularité pluridisciplinaire : l’étude des sciences technologiques et humaines en simultané.»

Anciennement membre de l’association BDE MIAGE et tutrice de L1 depuis deux ans

En L2 Valentine endosse la responsabilité de chargée de communication et en L3 celle de vice-présidente du BDE MIAGE.
« Cette implication me demandait de gérer en premier lieu la communication entre le BDE MIAGE et l’institut ainsi que les intervenants extérieurs, d’assurer la présence de l’association sur les réseaux sociaux sur tous les plans : annonces d’événements, design d’affiches, gestion des inscriptions, création de goodies…
En deuxième lieu j’ai eu le plaisir de seconder Camille qui était la présidente cette année-là. J’ai ainsi dû la soutenir dans ses prises de décision, dans la gestion du bureau, des réunions, des événements et dans la représentation du BDE MIAGE.
Ces deux expériences au sein du BDE MIAGE m’ont énormément plu car c’était un réel plaisir d’animer la vie étudiante de l’IDMC et de créer une osmose entre tous les étudiants en dehors des cours. Le sentiment éprouvé lors de la réalisation d’un événement sur lequel nous travaillons depuis des mois est également une bonne source de satisfaction ! »

Depuis deux ans, elle s’est engagée dans un tutorat auprès des étudiants de L1. Elle les aide à résoudre leurs problèmes de compréhension d’un cours ou d’un exercice dans toutes les matières. « J’ai choisi de postuler pour des raisons simples : premièrement, j’ai de l’empathie pour les étudiants de L1 qui subissent une rentrée dans un monde nouveau rythmé par la crise sanitaire et deuxièmement pour des raisons financières. Je me suis organisée comme suit : je propose chaque semaine aux étudiants des heures auxquelles je me tiens disponible pour eux sur Teams et ils peuvent s’inscrire sur la base du volontariat selon leurs besoins et envies. Grâce au tutorat je gagne de l’expérience en pédagogie principalement, j’apprends à adopter une approche différente pour chaque étudiant, adaptée à ses habitudes d’apprentissage.»

Un Erasmus à Stuttgart

Parmi la dizaine de destinations de l’Union Européenne avec lesquelles l’IDMC a des accords Erasmus, elle a fait le choix de l’Allemagne. « Je souhaitais initialement partir en Irlande, à Dublin, mais il s’avère que cette destination est plus appropriée pour des étudiants du parcours Sciences Cognitives. J’ai donc pris la décision de partir en Allemagne car, parlant couramment la langue, j’ai eu la possibilité de choisir des cours en allemand en plus des cours conventionnels en anglais avec des étudiants Erasmus. J’ai également une forte affinité avec la culture de ce pays, mon choix était évident.»

Valentine considère cette aventure à Stuttgart comme un défi. Elle a dû s’adapter à un nouvel environnement et un nouveau milieu social. De cette expérience unique elle en retire autant de positif que possible. « Sur le plan scolaire, j’ai notamment pu apprendre un nouveau langage de programmation, maîtriser de nouvelles notions de management et améliorer mon expression orale en anglais et en allemand. Sur le plan personnel, j’ai beaucoup gagné en autonomie et en organisation personnelle.»

IDMC et DHBW : deux formations très similaires

« Comme en France, à l’IDMC, l’enseignement consiste en cours magistraux et travaux dirigés avec des projets à réaliser. La seule différence réside dans le fait qu’il y a plus de travaux dirigés et moins de cours magistraux en Allemagne. Enfin la DHBW impose l’alternance aux étudiants allemands par périodes de trois mois, ce qui leur permet de pleinement s’impliquer dans leur stage ou leurs études.
En ce qui concerne la vie étudiante, il n’existe pas d’association étudiante comme nous le connaissons en France mais plutôt des fédérations d’étudiants de toute la ville qui proposent des événements en ville et participent aux festivités locales.»

Son expérience à l’IDMC

« Une expérience enrichissante et épanouissante, une promesse d’avenir.»